52 % de la génération Z préfère rester à la maison les soirs de week-end plutôt que de sortir.

Aujourd’hui, Havas BETC a dévoilé la dernière édition de son étude Prosumer intitulée « La fête est-elle finie ? », qui aborde l’évolution du rapport à la fête à travers le monde. À une époque où les consommateurs sont notamment plus attentifs à leur santé, à leur réputation, ainsi qu’à leurs dépenses, éviter “les soirées” est parfois l’option privilégiée. L’étude explore les nouvelles façons de faire la fête, ainsi que l’évolution de sa signification au sein de différentes cultures à travers le monde.

Havas BETC réalise plusieurs fois par an des études Prosumer exclusives à l’échelle mondiale, interrogeant plus de 13 000 personnes dans 33 marchés, dont le Brésil, la Chine, la France, l’Inde, le Royaume-Uni et les États-Unis. Ces études comparent les sentiments des répondants ‘grand public’ avec ceux identifiés comme étant des ‘Prosumers’, une partie de la population qui influence le comportement des autres et anticipe les tendances émergentes. Ce que les Prosumers font aujourd’hui, les consommateurs ordinaires le feront probablement dans les 6 à 18 mois à venir.

Les principales conclusions de l’étude « La fête est-elle finie ? » mettent en lumière l’évolution des manières de faire la fête à travers les générations et dans les années suivant la pandémie du COVID-19.

• 84 % des Prosumers sont d’accord pour dire qu’une fête peut avoir lieu n’importe où et n’importe quand.
• 52 % de la génération Z préfère rester à la maison un soir de week-end plutôt que de sortir.
• 49 % des Prosumers préfèrent faire la fête avec des personnes qui leur ressemblent car ils se sentent plus en sécurité.
• 80 % des Prosumers sont prêts à participer à une fête organisée par une marque, et 74 % des Prosumers aiment lorsque les marques organisent une soirée car elles ont les moyens de les rendre inoubliables.

Le monde dans lequel nous vivons est devenu si violent que faire la fête peut souvent sembler être l’une des meilleures manières d’échapper à la réalité. Cependant, dans une époque troublée, on peut également se sentir coupable de s’amuser. Faire la fête a toujours été un moyen de se rassembler avec ses proches, de rencontrer de nouvelles personnes, de trouver l’amour, de se divertir, de se défouler… mais aujourd’hui, il existe d’autres options pour répondre à ces besoins ; et elles pourraient être meilleures.

‘La fête est-elle finie ?’ met l’accent sur six idées principales tout au long du rapport, que les marques devraient considérer :

• UN MONDE D’HYPERFESTIVITÉ : La fête n’est plus réservée à de rares occasions ; elle peut survenir à tout moment de la journée et de l’année.
• HOMO COMFORTUS : Si la fête est partout, et surtout à portée de main, la génération Z, génération d’intérieur, choisit désormais de rester plus souvent à la maison.
• UNE SOCIÉTÉ “CONTROL FREAK” : L’obsession du contrôle rend difficile le lâcher prise en soirée ; ce qui signifie moins de rencontres, de flirts, de surprises et moins d’alcool.
• LE « SAFE SPACE”, UN NOUVEAU SANCTUAIRE : L’étude constate un besoin grandissant de se retirer à la maison, et de ne faire la fête qu’avec des personnes qui nous ressemblent.
• DE NOUVEAUX MODÈLES DE CÉLÉBRATION : Bien qu’elles se produisent moins fréquemment, les fêtes continuent de se réinventer, avec une mise en exergue de la préparation, qui devient partie intégrante de la fête en elle-même.
• LES MARQUES ET LES FÊTES, UNE SYNERGIE VERTUEUSE : Les marques sont reconnues pour organiser des soirées mémorables, permettant aux participants d’être la meilleure version d’eux-mêmes.

Retrouvez le rapport complet ici.

À propos d’Havas

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